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  • Le 27 Décembre une messe solennelle a été dite pour l'ouverture du jubilé des 350 ans des apparitions de Paray le Monial à sainte Marguerite-Marie Alacoque, retransmise sur KTO.

    C'est dire l'importance de l'année 2024, de nos prières dans les sanctuaires du Sacré-Cœur dont le nôtre à Saint Germain du Crioult  consacré à l'Espérance et au Salut des malades !

      Rappelons que les fidèles sont invités chaque premier vendredi du mois à une adoration  à 10 h suivie de la messe à 10 h 30. Et le 7 juin prochain aura lieu la fête solennelle. 

    Bonne Année à tous de ferveur et de prières.

     

     

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  • Concept De Noël : Crucifixion De La Croix De Jésus-christ Au ...

     

    Pour grandir spirituellement et se rapprocher du Seigneur, chaque chrétien est invité à prendre le temps de prier quotidiennement. C’est en effet seulement lorsque nous nous arrêtons et que nous nous rendons présent à Dieu que celui-ci peut nous parler et nous guider. Or, quel chrétien sincère ne désire pas laisser plus de place au Christ dans sa vie, et être capable d’écouter sa volonté ?

    Une courte prière du soir

    “Seigneur, ce jour s’achève et je viens vers toi pour t’offrir ma journée avec tout ce que j’ai pu y mettre de bon et de moins bon. Pour tout ce que j’ai fait de bien aujourd’hui, je te remercie, car c’est grâce à ton aide que j’ai pu être utile aux autres. Dans ta miséricorde, pardonne-moi mes négligences et mes fautes de ce jour. Excuse ma médiocrité et mes oublis. Ne tiens pas compte des manques d’égard et d’attention dont j’ai pu me rendre coupable aujourd’hui. Avec confiance, je me remets entre tes mains, je te confie mon sommeil, mes pensées, mes joies et mes peines, sachant que tu es prêt à me pardonner mes faiblesses et à m’assurer ton secours pour que demain je puisse me remettre à ton service et à la disposition de tous ceux qui me sont chers. Amen.”

    Cardinal Suenens

    Cette prière peut être accompagnée d’un Notre Père et d’un Je Vous Salue Marie.

    Pourquoi et comment prier le soir ?

    Prier le soir, avant de se coucher, est la plus belle manière qui soit pour nous, chrétiens, de conclure nos journées. Au cours de cette prière du soir, nous pouvons prendre le temps de relire notre journée à la lumière de l’Esprit Saint :

    • Remercier Dieu pour les bons moments, les belles rencontres et les bonnes discussions
    • Demander pardon pour nos péchés, nos emportements, et tous les moments où nous n’avons pas fait le bien que nous aurions aimé faire
    • Confier notre nuit et les intentions de prière que nous portons pour nous-même et nos proches

    Nous pouvons bien sûr faire notre prière du soir à n’importe quelle heure, juste avant d’aller dormir ou avant l’heure de coucher des enfants si l’on souhaite prier en famille. Le contenu de la prière est également libre. Certains préfèrent prier spontanément, et d’autres peuvent trouver qu’en s’appuyant sur des prières existantes il est plus facile d’être inspiré et nourri dans sa prière.

     

     

     

     

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  • Sainte Marguerite-Marie Alacoque
    Confidente du Sacré-Cœur

     

     

    M

    arguerite-Marie Alacoque, cinquième enfant de Claude Alacoque et Philiberte Lamyn, naît dans un village du charolais, à Verosvres (Vroules en patois charolais), le 22 juillet 1647. Son père, notaire royal, décède quand elle a huit ans.

    À 10 ans elle est très malade et elle fait vœu de devenir religieuse si Notre Dame la guérit. Ayant retrouvé la santé, elle oublie sa promesse, mais un peu plus tard la maladie de sa mère la lui rappelle. C'est pourquoi, bien que sa famille soit contre, le 25 mai 1671, elle entre au monastère de la Visitation de Paray-le-Monial où elle prend l’habit des visitandines le 25 août 1671.

    Marguerite-Marie fait profession le 6 novembre 1672. Elle épouse dès ce moment-là le Christ souffrant, le Christ en agonie. Jusque-là, elle a bien souvent entendu la voix du Seigneur au fond d'elle.

    Mais le 27 décembre 1673, le Christ lui apparaît physiquement, lui révélant son divin Cœur rayonnant comme un soleil, portant la trace du coup de lance, la couronne d'épines. Une croix le domine. Il lui adresse alors ce premier message : « Mon divin Cœur est si passionné d'amour pour les hommes, et pour toi en particulier, que ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu'il les répande par ton moyen. » Le Christ alors unit le cœur de Marguerite-Marie au sien, et dès cet instant Marguerite-Marie gardera toujours une douleur au côté. La mission laissée à la sainte n'est pas petite : faire connaître aux hommes l'Amour débordant de Dieu… C'est la première des trois grandes apparitions.

    La deuxième grande apparition a lieu l'année suivante, un premier vendredi du mois. Le Christ lui apparaît de nouveau manifestant son divin Cœur, “tout rayonnant de gloire avec ses cinq plaies brillantes comme cinq soleils”. Le Christ alors se plaint que les hommes soient si loin de son Amour, et le lui rendent si peu. Il lui dit alors : « Tu communieras […] tous les premiers vendredis de chaque mois. Et, toutes les nuits du jeudi au vendredi je te ferai participer à cette mortelle tristesse que j'ai bien voulu sentir au jardin des Olives […] Et, pour m'accompagner […] tu te lèveras entre onze heures et minuit pour te prosterner pendant une heure avec moi ». De plus, le Christ lui rappelle alors l'importance de l'obéissance, car Satan « n'a point de pouvoir sur les obéissants ».

    Durant l'octave du Saint-Sacrement, en 1675, c'est la troisième grande apparition, et sans nul doute la plus connue. De nouveau, le Christ lui révèle son divin Cœur, et lui laisse ces paroles : « Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné jusqu'à s'épuiser et se consommer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance, je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et les mépris […] Mais ce qui m'est encore le plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. » Il lui demande alors que soit instaurée la fête du Sacré-Cœur, un culte public ! Marguerite-Marie, petite visitandine dans une petite ville, voit alors évidemment mal par quel moyen elle pourrait y répondre ! Plusieurs visions suivront jusqu'en 1677.

    Au début elle passe pour possédée, mais, heureusement, elle est soutenue par son confesseur, le père Claude La Colombière (canonisé le 31 mai 1992) qui, quand Marguerite-Marie lui ouvre sa conscience, voit en elle l’œuvre de Dieu, la rassure et l’encourage. Peu à peu la communauté accepte et vénère le Sacré Cœur (cœur souffrant entouré de flammes et d’une couronne d’épines).

    La « dévotion au Sacré-Cœur » va se répandre dans toute la chrétienté et, en 1899, le pape Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903) instituera la fête du Sacré-Cœur (3e vendredi après la Pentecôte).

    En 1689, Marguerite-Marie reçoit un dernier message du Seigneur : elle doit faire savoir au roi, Louis XIV, qu'il doit se consacrer au Sacré Cœur, ainsi que tous les grands du royaume, et Lui construire un lieu de culte. Le message arriva-t-il au destinataire ? Nul ne sait, mais toujours est-il qu'il n'y eut point de suite.

    En octobre 1690, elle annonce à ses sœurs, incrédules, que le Seigneur veut la rappeler à Lui, et en effet, sœur Marguerite-Marie rend saintement son âme à Dieu le 17 octobre. Depuis son corps repose à la basilique de Paray-le-Monial.

    Déclarée vénérable en 1824 et bienheureuse en 1864, Marguerite-Marie à été canonisée le 13 mai 1920 par le pape Benoît XV (Giacomo della Chiesa, 1914-1922).

     

    Martyrologe Romain : À Paray-le-Monial en Bourgogne, l’an 1690, la naissance au ciel de sainte Marguerite-Marie Alacoque, dont la mémoire a été célébrée la veille.

     

    Pour un approfondissement biographique :
    >>> Sainte Marguerite-Marie Alacoque

     

     

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  • Le Chemin de la confiance face à la peur -sainte Thérèse de Lisieux - UN  CRI A LA VIE !

    Dictée de Sainte Thérèse de Lisieux

    Depuis quarante-huit heures j’ai auprès de moi la présence de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, tout à la fois humaine et glorieuse parce que rayonnante, posée sur de petits nuages lumineux, mais telle qu’elle m’est apparue dans le couvent de Lisieux. Elle ne tient pas le crucifix. Mais elle porte son manteau blanc sur son habit marron. Je ne vois pas sa main gauche, cachée par le manteau. En revanche, je vois la main droite, très belle, qui sort jusqu’à l’avant-bras de son manteau légèrement repoussé en arrière ; elle tient une rose entre les doigts. C’est une rose magnifique d’un jaune doré ravissant, l’une de ces roses un peu effeuillées que l’on dit hybrides, me semble-t-il, avec des pétales froncés, sans épine sur la tige d’un vert-rouge foncé, avec des feuilles vert sombre, luisantes, pâteuses, comme en cire. Je ne connais pas leur nom botanique. Elle la tient légèrement entre le pouce et l’index, la corolle tournée vers la terre, le bras tendu vers le bas, comme si elle était sur le point de la laisser tomber. Je lui dis : « Laisse-la tomber ! Une rose pour moi !…» elle sourit sans rien dire ; c’est un sourire joyeux, fin, encourageant. Puis elle me fait signe qu’elle veut parler. [...]

    La petite Thérèse s’adresse finalement à moi :

    « Il s’agit là des appesantissements de l’amour. Ils se produisent très facilement. C’est un obstacle. Il faut en rechercher l’origine dans les ruses du démon, qui s’appuie sur

    -          des scrupules faciles,

    -          sur les peurs,

    -          et même sur le désir désordonné d’être bon, pour empêcher en réalité les âmes de l’être, de le devenir grâce aux moyens de Dieu, tant ordinaires qu’extraordinaires.

    Un tel désir désordonné, ce peut être celui de vouloir agir avec empressement, par des moyens choisis par nous, et dans la peur de ne pas savoir comment faire. Mais qu’on laisse cela aux pauvres hommes du monde qui ne connaissent pas l’infinie bonté, la patience et la bienveillance de Dieu et du temps que Dieu accorde à ceux qui lui font confiance pour tout bien accomplir. Pourquoi craindre puisque nous avons affaire à un Père ? Pourquoi dire : “Vite, vite, sinon je n’y arriverai pas”, si nous savons que le temps, étant au service de Dieu, ne peut se refuser à être comme il le veut pour chaque vie ? Pourquoi vouloir déclarer : “Je veux me sanctifier par tel moyen, par telle pratique, parce que je n’y arrive pas ici ou là”, quand nous avons un Maître qui sait comment et en quoi nous devons nous sanctifier et y pourvoit par des moyens que la personne ne saurait imaginer ? Non. Ce n’est pas ainsi qu’il faut agir.

     

    S’il est déjà facile de tomber dans ces erreurs pour les catholiques qui vivent dans le monde, ce l’est encore davantage dans les monastères. Les âmes y sont aussi nombreuses que les moyens et les modes de sanctification. Un unique canevas ne saurait suffire à toutes de la même manière. Puisque l’âme a épousé le Dieu libre, elle doit l’être, elle aussi. L’âme doit être une “épouse”, puisqu’elle est épousée. Une femme ne se marie pas quand elle est encore dans les langes, mais lorsqu’elle est en mesure d’accomplir toute seule au moins l’indispensable pour son mari et la maison, n’est-ce pas ? Oh, il n’est guère aisé de se sanctifier dans les monastères. Se sauver l’est encore. Mais suivre la voie du Christ, une voie dorée mais semée de chausse-trappes, rouge de sang et baignée de larmes, ce n’est pas facile. C’est pourtant la voie de la sainteté.

    Ma petite sœur, dis à mes consœurs d’avoir une piété et une obéissance bien larges, libres. Elles ne sont pas esclaves, mais “épouses”. Les épouses ne sont pas assujetties à une soumission servile. Cela, c’est bon pour les inférieurs. Les reines-épouses ont le droit et le devoir de savoir comprendre et mettre en pratique les voix et les paroles prononcées par leur Époux et Roi dans cette chambre nuptiale qu’est l’âme, avant toute autre voix. Le livre d’Esther décrit comment elle a comparu dans l’atrium intérieur en présence du roi, bien qu’elle sache qu’y paraître sans convocation signifiait la “mort”. Mais comme elle avait compris que Dieu était présent dans la prière de Mardochée, elle revêtit les vêtements royaux et se présenta dans l’atrium intérieur devant le roi assis sur son trône. Or cette épouse humble et pourtant royale plut au roi, qui lui tendit le sceptre pour la sacrer à la face du monde, et elle lui fut si chère qu’il lui promit d’exaucer chacune de ses prières. Esther, qui était épouse malgré son jeune âge, sut faire preuve d’une volonté soumise, et cependant libre et large. Qu’elles ne tombent pas dans les pièges honteux du démon, qui leur crée des scrupules pour mieux les enchaîner.

    Oh ! j’étais “la dernière” à Lisieux ; la grande prieure était bien puissante, et sa petite “cour” lui était bien fidèle ! Mais l’air des âmes et pour les âmes était bien stagnant, la lumière bien grise, l’espace très réduit lorsque j’y suis entrée ! Cela ne permettait pas la renaissance des âmes sous la forme de séraphins ! J’ai osé y mettre de l’air, de la lumière, de l’espace, moi, la “petite”. Ce n’était pas par orgueil : j’ai souffert de devoir le faire. Mais je voulais transformer mon âme en un séraphin aux ailes d’or. Sinon, il aurait été inutile de me rendre prisonnière…! Je voulais que mon âme devienne “la forte”. Pour mon corps, la tubercu­lose fut mon moyen d’avancer vers l’Amour. Mais pas pour mon âme, non. Et, poussée par l’amour – qui est le but de toute vie chrétienne –, j’ai voulu pour toutes ce que je voulais pour moi : de l’air, de la lumière, de l’espace pour les ailes des séraphins de la terre, et pour le monastère. J’étais “l’enfant terrible” qui disait la vérité, qui voulait la vérité. La vérité, c’est une dévotion aérée, alors qu’une piété bâtie sur des scrupules n’a rien à voir avec la vérité. Je semblais d’une étrange étoffe. Mais comme je plaisais au Seigneur, ceux qui sont sauvés marchent aujourd’hui sur ma petite voie – que l’on prenait à l’époque pour de la légèreté de petit enfant –, parce qu’ils se rendent “semblables aux petits enfants à qui le royaume des cieux appartient”.

    Viens, ma petite sœur, chantons notre Magnificat, nous dont Dieu a vu la “petitesse”; c’est pourquoi il nous “a prises sur son sein, comme le fait une mère, et nous a donné un nom meilleur que des fils et des filles, un nom éternel qui jamais ne sera effacé.”»

    Lumineuse au point de produire en moi un sentiment d’extase, elle sourit…

     

    Les Cahiers de 1945 à 1950, 2 février 1946

     

     

     

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  • Pour chaque heure

    Prière du matin

    Seigneur,
    ma journée commence.
    Tu me la donnes gratuitement.
    Je veux la vivre en m’inspirant de Toi,
    en évitant toute critique, toute plainte.
    Donne-moi de Te servir dans les autres.
    Coule en moi Ta paix.
    Que Ton divin Esprit, à la manière de Marie,
    remplisse d’amour mes relations
    d’aujourd’hui.
    Je veux ce que Tu veux, comme Tu le veux,
    quand Tu le veux.

     

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  • PRIERE A SAINT LOUIS POUR LA FRANCE

    St Louis de France

     

    « Dieu notre Père, nous te rendons grâce pour les merveilles que tu as accomplies en Saint Louis, à qui nous demandons d’intercéder pour nous et pour la France. Saint Louis, toi qui considérais ton baptême comme le plus grand don reçu, ravive en nous le désir de vivre en enfants de Dieu. Toi qui méditais chaque jour la Parole de Dieu, aide-nous à retenir les enseignements de la Passion de Jésus et à offrir notre vie par amour. Toi qui compris en ta jeunesse l’horreur du péché, aide les jeunes à grandir dans la droiture et la fidélité. Toi qui fus un époux et un père très aimant, aide nos familles à être ferment d’unité pour notre monde. Toi qui servis les pauvres, qui cherchas la justice et la paix, ouvre nos cœurs aux petits et viens en aide à nos dirigeants. Seigneur, à l’exemple et à l’intercession de Saint Louis, accorde-nous de prendre en pèlerin chacune de nos décisions de la terre, en ayant en vue la vie du ciel. Amen ! » 

    Lire son testament spirituel

     

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  • Sacré Cœur de Jésus.

    Au fil des jours - Méditation du 23 juin 2017 : Fête du Sacré-Coeur de ...

    O Cœur de Jésus ,broyé à cause de nos péchés ,ayez pitié de nous .

    Cœur attristé et martyrisé pour tant de crimes et de fautes ,ayez pitié de nous .

    Cœur victime de toutes les iniquités .Je vous aime de toute mon âme et par dessus toute chose .

    Je vous aime pour ceux qui vous méprisent et vous délaissent .

    Je vous aime pour ceux qui vous abandonnent seul dans la Sainte Eucharistie .

    Je vous aime pour les âmes ingrates qui osent profaner votre Sacrement d'Amour par leurs insultes et leurs sacrilèges .

    Cœur de Jésus ,pardonnez aux pécheurs :ils ne savent pas ce qu'ils font !

    Cœur de Jésus  ,soutenez ceux qui propagent votre Saint Nom .

    Cœur de Jésus ,faites que la société s'inspire en tout de votre Saint Évangile ,seule sauvegarde de la justice et de la paix .

    Cœur de Jésus ,que les familles  et les nations proclament vos droits !

    Cœur de Jésus ,régnez sur ma patrie !

    Cœur de Jésus ,que votre règne arrive par le Cœur Immaculé de Marie,

     

     

     

     

     

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  •  Vendredi 16 juin 2023

     

    « On sentait une effervescence ce matin-là dans la bourgade de Saint Germain du Crioult. C’était une fête. UNE TRÈS GRANDE FÊTE. Les environs avaient été ameutés depuis des mois pour se rassembler le vendredi 23 juin à 10h30. » C’était en l’an 2006, date de la renaissance du sanctuaire du Sacré-Cœur de Saint Germain. Et l’auteur de ces lignes était le père Joseph Voegelé, enfant du pays, ancien élève de l’école du Sacré-Cœur de Saint Germain qui dans l’enthousiasme de cette résurrection prit sa plume pour faire un merveilleux article dans En marche. Et de poursuivre « A l’intérieur, les bancs de l’église se trouvaient occupés  ; de vieilles connaissances, des jeunes et anciens, et puis de la toute première jeunesse, des enfants accompagnés qui venaient de Condé à Saint Germain à pied, élèves de l’école et collège du Sacré-Cœur de Condé, renouant avec la tradition ancienne et oubliée de la fête du Sacré-Cœur d’autrefois» Et cela dure depuis 18 ans ! Et ce vendredi 16 juin, pour cette fête, ils sont toujours là, plus participants encore, grâce à un bel engagement de leur école, et leurs voix résonnaient dans l’église quand ils entonnaient les chants. Comme votre cœur se serait à nouveau dilaté cher Père Voegelé qui depuis nous a quittés, comme beaucoup de fidèles de l’époque. Une petite poignée étaient encore là, se serrant au sein de la chorale ou au fond de l’église, heureux de se retrouver d’où qu’ils soient. Bien souvent, nous nous sommes demandé, s’il restait des souvenirs chez ces 2000 jeunes qui avaient emprunté ce joli parcours par petits chemins et petites routes, si leur cœur à eux aussi avaient été touchés par tout ce qu’ils avaient vécu et entendu ? Et ce vendredi, il fallait bien que cela arrive, pour Dieu le temps ne compte pas…Ce jeune qui se rend à l’autel, muni d’un petit papier pour dire devant toute l’assistance, qu’il a demandé d’être baptisé. ET LES ÉLÈVES DU SACRE CŒUR, AVEC LEURS PROFESSEURS SONT PARTIE PRENANTE POUR L’ACCOMPAGNER JUSQU’AU BAPTÊME. Ne me dites pas qu’il n’existe pas des MOMENTS DE GRÂCE !

                                                                                                          NV

     photos Yvette VIvien

     Un pèlerinage et une célébration dans la ferveur et la grâce

      Un pèlerinage et une célébration dans la ferveur et la grâce

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Un pèlerinage et une célébration dans la ferveur et la grâce

     

     Un pèlerinage et une célébration dans la ferveur et la grâce

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Un pèlerinage et une célébration dans la ferveur et la grâce

    Père Michel Roger  ,  Père Fulgence - -Noël  Mougabio

     

     

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