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  • MéditationsLa Fabuleuse Histoire du Sacré-Coeur de Saint Germain du Crioult   

     

     

     

     

    Dimanche 21 novembre, lors  de la messe du Christ Roi, célébrée en l'église du Sacré-Coeur de Saint Germain, le doyen de la paroisse Bienheureux François Jamet, le Père Jean-Luc Chaumoître a béni l'autel de la chapelle Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face. Cet autel a été offert par l'Abbaye de Notre Dame des Neiges de Saint Laurent les Bains en Ardèche. Rappelons que le Père Chaumoître est natif de Lisieux, ville de la Sainte. A cette occasion, il avait revêtu la chasuble brodée, restaurée par les Amis du Sacré Coeur: chasuble ayant appartenu à l'Abbé Henri du Rosel, enfant du pays, tué lors de la guerre 14-18.

    http://data0.eklablog.com/sacre-coeur/mod_article1720396_2.jpg
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  • La Fabuleuse Histoire du Sacré-Coeur de Saint Germain du Crioult 

    Les tombes restaurées ont été bénies par Monseigneur Boulanger    

            

        A 16 h, ce vendredi 11 juin, jour de la fête du Sacré Coeur, 80  fidèles attendaient à l'entrée du cimetière leur nouvel Evêque. Monseigneur Boulanger venu à pied du sanctuaire où il s'était recueilli, était accompagné du Père Jean-Luc Chaumoître. Il saluait chacun,  avant de revêtir les ornements pour gagner en procession les tombes des prêtres. Ils étaient rejoints par le vicaire Florent Acotchou. Cérémonie émouvante au pied des tombes où Monseigneur associait prêtres disparus et vivants dans la nécessité qu'il y avait à se souvenir ou à soutenir ceux qui nous accompagnent dans tous les évènements de notre vie chrétienne.

    Historique
    Abbé Guillaume Boutry de Monville   (1756 – 1828)

     

     Prêtre eudiste

     

    Natif de Condé-sur-Noireau , d’une famille de 7 enfants, famille de robe, occupant de nombreux postes dans la magistrature. Il étudia lui-même la jurisprudence à Caen et suivit pendant quelque temps la carrière du barreau.  Sa conscience droite n’ayant supporté une injustice, il quittait le barreau pour entrer au Grand séminaire.

    Il devenait chapelain de Saint Sauveur en 1785. Il était ensuite incorporé dans la Congrégation des Eudistes.

    A la révolution il était parmi les prêtres du diocèse qui prêtèrent un serment restrictif de fidélité à la nouvelle Constitution.  Se rétractant, il pratiqua ensuite son ministère en cachette dans sa maison du village des Isles.  Dénoncé,  il comparaissait devant le tribunal du district . Il était emprisonné à Vire.  Il échappa de peu à son transfert à Rochefort pour être embarqué au bagne. Est ignorée la date où il recouvra la liberté. Mais comme les églises demeuraient toujours fermées, il fit construire une chapelle au hameau des Isles où il officiait chaque dimanche. Le Directoire rendait au culte les églises. En 1801, Guillaume Boutry de Monville est nommé pasteur de Saint Germain du Crioult. Sa renommée fit qu’il baptisa de nombreux enfants des communes environnantes (Vassy,  Moncy, Montsecret, et même Saint Clair de Halouze).  Il racheta le presbytère ( propriété actuelle de la famille Arnal). Il commença la restauration de la vieille église de Saint Germain qu’il consacra à la Vierge en 1824 en établissant la confrérie du Mont Carmel.


    Abbe Michel Delavarde curé de Saint Germain de 1828 à 1841

    Né à Montbertrand, il fut d'abord curé de Lassy. L'abbé Pihan disait que les vieillards de la paroisse avaient gardé de lui un excellent souvenir. L'abbé Delavarde disait quant à lui, en parlant de la paroisse de Saint Germain "
    Je n'y ai enterré que des saints". Il établit l'archiconfrérie du Saint Sacrement et mourut le 13 janvier 1841. Son corps est inhumé avec celui de Guillaume Boutry de Monville, de même que celui de l'abbé Pierre Lerebourg décédé le 25 avril 1821, sur lequel nous ne possédons pas à ce jour de documents.


    Abbé Thomas-Adrien Gautier (1817 – 1884)

     

    L’Abbé Gautier est né à Vire le 25 décembre 1817. Vicaire à Saint Martin à Condé, il devint curé de Saint Germain en 1851. « Le bon Monsieur Gautier, comme on l’appelait sut gagner l’estime et l’affection de tous », écrit l’Abbé Pihan dans un bulletin du « Divin Médecin ». Ce prêtre avait une dévotion extraordinaire pour la Sainte Vierge (par deux fois l’église y fut consacrée, avec l’Archiconfrérie de Notre Dame du Mont Carmel en 1824 (Abbé Boutry de Monville) et celle de L’immaculée Conception refuge des pêcheurs en 1842 (Abbé Martin). « On le rencontrait toujours le  chapelet à la main ». Il reconstruisit le chœur de l’église de Saint Germain. Il mourut le jour même de la solennité de l’Immaculée-Conception, peu de temps après avoir célébré la messe, le 14 décembre 1884. Le monument funèbre que les habitants lui ont érigé témoigne de la vénération que tous avaient pour leur prêtre.

     

      

    Abbé Eugène Houel  (1830 – 1892)

     

    Il est né en 1830 à Viessoix, et était curé de Saint Manvieu, quand il fut appelé par Monseigneur Hugonin Evêque du diocèse pour succéder à l’Abbé Gautier en 1885.

    Prêtre pieux et fort instruit, il s’appliqua tout particulièrement à la direction des âmes.

    « Il prêchait avec autant de piété, de zèle et d’éloquence. On ne se lassait pas de l’écouter. »

    (extrait du Divin Médecin).

    Il proposa ses deniers personnels pour la restauration de l’église vétuste.  Le Conseil municipal de l’époque n’agréa pas sa demande.

    Il mourut d’une longue et douloureuse maladie « supportée avec résignation » en 1892.

     

     

    Abbé Eugène-Hyacinthe Barbier (1849 – 1900)

     

    Né à Pont-Bellanger en 1849, il était curé de Fresné-la Mère avant d’arriver en 1893 à la paroisse de Saint Germain. « Ce prêtre éprouva un sentiment de profonde tristesse lors de sa première visite à Saint Germain, à la vue de l’état de délabrement du Saint Lieu. » Dès lors, il résolut de travailler énergiquement à la restauration de l’église.  Plus heureux que ses prédécesseurs, sa requête fut agréée du conseil municipal. « On ferait un volume si l’on voulait raconter dans le détail, les péripéties des démarches pour accomplir par lui, en vue d’obtenir les autorisations légales. »

     Mais cette entreprise de restauration n’avançant pas suffisamment vite à ses yeux, il entreprît de quêter au nom du Sacré Cœur. L’église de Saint Germain y avait été consacrée avec une Archiconfrérie en 1849, par l’Abbé Martin.

    Une magnifique nef et un élégant clocher sont réalisés avant qu’il ne décède le 27 août 1900.


    Restent deux tombes dont nous n'avons pu déchiffrer avec exactitude les noms: nous pourrons peut être le faire après le décapage du granit. Ces prêtres auraient été vicaires à Saint Germain.

     

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    CRECHE VIVANTE, CRECHES DE LA PAROISSE, CRECHES DU MONDE ENTIER

     CRECHE VIVANTE, CRECHES DE LA PAROISSE, CRECHES DU MONDE ENTIER

     

     CRECHE VIVANTE, CRECHES DE LA PAROISSE, CRECHES DU MONDE ENTIER

     

     

     

     

     

    Le 7 septembre 2009 l'exposition Charles de Foucauld reprenait le chemin de Notre Dame des Neiges à Saint Laurent les Bains dans les Monts d'Ardèche. Les Amis du Sacré Coeur étaient allés la chercher au printemps 2008. Exposée tout l'été de cette même année,  en l'église de Saint Germain du Crioult, elle fut présentée ce dernier été en l'église de la Sainte Trinité à Falaise où elle reçut de nombreux visiteurs.
    Nous avons grâce à celle-ci mieux découvert cet apôtre du Sacré Coeur qui voua la majeure partie de son existence au Christ et aux populations du désert.
    Son attachement à l'Abbaye de Notre Dame des Neiges où il fut novice lui est rendu par une seconde exposition plus récente et une chapelle où sont déposées ses reliques. Les Moines perpétuent ainsi son souvenir, en même temps qu'ils répandent son message spirituel, plus que jamais nécessaire.
    Merci à ces gardiens pour ce très beau partage.



     

     

    La Fabuleuse Histoire du Sacré-Coeur de Saint Germain du Crioult

     

     La Fabuleuse Histoire du Sacré-Coeur de Saint Germain du Crioult

    La Fabuleuse Histoire du Sacré-Coeur de Saint Germain du Crioult

     

     

     

     

     

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  • La Fabuleuse Histoire du Sacré-Coeur de Saint Germain du Crioult

     


     

       

                                              Dimanche de neuvaine

     

     

     7ème jour de la neuvaine à Saint Claude La Colombière, ce premier dimanche de carême a réuni, à 18 h, 16 personnes dans la chapelle du Sacré Cœur. Parmi elles, le prêtre de la paroisse voisine Saint Pierre Maubant, le Père Raphaël, qui nous a offert la bénédiction du Saint Sacrement. Moment de grâce pour les fidèles qui se sont rendus régulièrement à cette neuvaine depuis le 15 février, mais aussi pour nos amies viroises qui avaient parcouru les 20 kms qui nous séparent de leur ville. Pour ceux aussi qui n’ayant pu venir en raison de leur travail au cours de la semaine, ont tenu à être présents ce dimanche soir.

    Il est loin le temps de la première neuvaine qui ne voyait que trois personnes au pied de l’autel du Sacré Cœur, le dimanche soir. Il y a de cela un peu plus de 4 ans quand s’accomplissait la renaissance de ce vieux sanctuaire.

     Grande vertu de la prière commune, qui fait venir chaque jour, ceux du chef lieu de canton ou du département voisins, co-voiturant, s’organisant en dépit du travail de nuit, d’un problème cardiaque comme Marie 80 ans, comme Jacqueline et son fils Mickael, à bicyclette en dépit des grands froids et de la côte sévère qui conduit au clocher de Saint Germain.

     Il n’est que de voir les visages radieux, heureux aussi de se retrouver et ayant mis de côté les soucis, et prendre ainsi mesure, de cette vertu.

     Cette neuvaine, d’une année sacerdotale, en faveur des prêtres et des vocations, d’intentions confiées, est un bel exemple de foi, comme il s’en propage un peu partout. Ayons confiance !  

     

    Neuvaine au Sanctuaire de Saint Germain
    Neuvaine au Sanctuaire de Saint Germain
    du vendredi 16 au samedi 24 octobre 2009 à 18 heures



     

    "Pour les Âmes du purgatoire en compagnie du Sacré-coeur de Jésus et de Sainte Marguerite-Marie Alacoque"

     Sainte Marguerite-Marie est à l'origine de cette pratique : "Vous ferez un petit tour par le Purgatoire en compagnie du Sacré-Coeur de Jésus, pour le prier d'appliquer ses mérites à ces saintes âmes souffrantes. Et vous le prierez, en même temps, d'employer leur pouvoir pour vous obtenir la grâce de vivre dans l'amour et la fidélité à Notre Seigneur Jésus-Christ, en répondant à ses désirs sur nous, sans résistance. Et si vous pouviez remettre en liberté, quelques unes de ces âmes prisonnières, vous serez bien heureux d'avoir dans le Ciel une avocate qui plaiderait pour votre salut"

     

      Neuvaines

     

                 Samedi 24 octobre 2009

     

          Nous voilà parvenus, au neuvième jour de notre neuvaine, commencée la veille de l’anniversaire de la mort de Sainte Marguerite-Marie. 
      Quel réconfort d’avoir participé à ce rendez-vous ininterrompu dans la prière et la méditation, auquel s'est rendue une trentaine de personnes selon ses possibilités.

     

         Nous livrons à ceux qui viendront lire cette page, croyants ou non croyants, ces paroles de méditation, lues chaque jour de la neuvaine.

     

          Que regrettez-vous, saintes âmes du Purgatoire, de la terre que vous avez quittée ?

     

       Premier jour : « Je regrette le temps perdu…Je ne le croyais ni si précieux, ni si rapide, ni si irréparable…Si j’avais su ! Si je pouvais encore ! Temps précieux ! Aujourd’hui, je t’apprécie comme tu le mérites. Tu m’avais été donné pour être employé tout entier à l’amour de Dieu, à ma sanctification, au soulagement et à l’édification du prochain. Mais je t’ai employé au plaisir et à des œuvres qui, maintenant, me causent de si amers regrets !

      

       Ô vous qui vivez encore sur la terre, consacrez pour nous, au Cœur de Jésus, quelques-unes de ces heures où la grâce vous est offerte en si grande abondance, et avec tant de facilité ! »

     

         Deuxième jour : « Je regrette les biens dissipés…Ma fortune, ma santé, mes talents, ma position dans le monde : tout cela eut été pour moi un puissant moyen de salut, si j’avais voulu m’en servir à la gloire de Dieu. Tous ces biens se sont évanouis à mes yeux au moment de la mort ! Ah ! Si j’étais riche aujourd’hui de ces biens périssables, que ne donnerais-je pas pour faire avancer d’un degré la gloire que Dieu me réserve au Ciel, et pour faire connaître, ici-bas, la dévotion au Sacré-Cœur.

     

        Ô vous qui, sur la terre, disposez encore de quelque fortune, il vous en sera demandé compte…Songez-y ! Usez-en selon la justice, la piété et la charité. Acquittez-vous de vos dettes envers les vivants et les défunts. »

      

       Troisième jour : « Je regrette la grâce méprisée…Elle m’avait été offerte en si grande abondance, à chaque instant de la vie : régénération chrétienne, vocation, sacrements, Parole de Dieu, inspirations saintes, bons exemples, faveurs insignes du pardon après la chute. Que de grâces ! Ah ! Si j’avais seulement, durant un seul instant, la liberté d’étancher ma soif à ces sources de la Miséricorde qui jaillissent du Cœur Sacré de Jésus, et que les pécheurs et les indifférents dédaignent ! 

      

       Ô vous sur le terre ! Ecoutez Sainte Marguerite-Marie vous dire du haut du Ciel « Il n’est personne au monde qui ne puisse ressentir toutes sortes de secours, s’il a réellement pour Jésus-Christ, un amour reconnaissant, comme celui qu’on lui témoigne par la dévotion à son Sacré-Cœur. »

     

      Quatrième jour : « Je regrette le mal commis. Il me paraissait autrefois si léger et si agréable. J’en étouffais les remords au milieu des plaisirs. Maintenant, son poids m’accable, son amertume fait mon tourment, son souvenir me poursuit et me déchire.

     

      Ah ! Si je pouvais retourner à la vie. Nulle promesse, nul plaisir, nul richesse, nulle parole séduisante ne serait capable de m’engager à commettre le plus petit péché.

      

       Ô vous qui avez encore la liberté de choisir entre Dieu et le monde, regardez les épines, la Croix, les flammes qui ont torturé le Cœur de Jésus ; elles vous diront ce que nos péchés lui ont coûté de souffrances.

      

      Cinquième jour : « Je regrette les scandales donnés. Si, au moins, je n’avais que mes fautes à regretter ! Si, en mourant, j’avais pu arrêter les tristes conséquences de mes scandales et de mes malédictions !

     

        Ô vous qui venez me visiter en compagnie du Sacré-Cœur et qui faites briller à mes yeux un rayon de sa lumière, vous avez en lui, le moyen le plus sûr et le plus facile, en coopérant à sa grâce et, vous animant de son zèle, de convertir plus d’âmes que je n’en ai scandalisées sur terre.

      

        Sixième jour : « Je regrette de n’avoir pas été assez souvent au sacrement de Réconciliation. Oui la confession est la guérison pour l’âme.

      

       Ô vous qui êtes encore sur la terre, allez pour nous, vous jeter dans les bras du Père de Miséricorde !

      

      Septième jour : « Je regrette le peu de charité que j’ai eue sur la terre pour les âmes du Purgatoire. J’aurais pu leur être si utile durant ma vie ! Prières, aumônes, bonnes œuvres, Communions, dévotion au Sacré-Cœur ! Que de moyens n’avais-je pas pour consoler ces pauvres âmes retenues prisonnières dans ce séjour de souffrances.

     

      Ah ! Si je pouvais retourner sur la terre, que de saintes Messes n’entendrais-je pas ! Combien n’en ferais-je pas célébrer pour toutes ces âmes oubliées ! Quelles prières n’adresserais-je pas au Ciel à leur intention ! Vous le pouvez encore…

      

       Huitième jour : « Nous regrettons de ne pas avoir suffisamment aimé nos prêtres et notre église.

     

        Aimez vos prêtres et priez pour eux ! Aimez vos évêques et votre Pape, ils sont cadeaux de Dieu pour vous conduire au Paradis. »

      

     Neuvième jour : « Nous regrettons de ne pas avoir suffisamment aimé Marie, la Sainte Mère de Dieu. Elle est un raccourci pour nous conduire sur le chemin du Cœur de Jésus. Elle est une puissante avocate, car elle ne supporte pas de voir ses enfants au Purgatoire.

     

       Consacrez-vous à Dieu par le Cœur immaculé de Marie, elle vous protégera des embûches du démon. Priez le Saint Rosaire et confiez-vous à elle ! Placez aussi vos enfants et toute la famille sous sa protection maternelle.

     

        Doux Cœur de Marie, Soyez notre salut !

     

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  • Bas-relief en marbre représentant l'apparition du Christ à Sainte Marguerite Marie à Paray-le-Monial, situé sous le porche  de l'église actuelle de Saint Germain du Crioult.

    Ce bas-relief faisait partie de l'ancien autel du Sacré-Coeur de l'église  de Saint Germain qui a été dynamitée en 1944 par l'occupant. 

    Lire la suite...

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  • Les Amis du Sacré Cœur de Saint Germain du Crioult

    Déclaration à la Sous-préfecture de Vire (14500) n°W144000125 – J.O du 19/08/2006 n° 20060033

     


    Vous pouvez imprimer ce bulletin et l'envoyer
    8 route de Saint Pierre d'Entremont
    14110 Saint Germain du Crioult 

    Site: http://www.sacre-coeur.eklablog.com
    E_mail: sacre-coeur@sfr.fr


    Bulletin d’adhésion (du 1er juillet au 30 juin)

     

     

    Nom :……………………………………..………. Prénom :…………………………………...

     

    Adresse :………………………………………………………………………………………….

    ……………………………………………………………………………………………………

     

    Code postal :……... Ville………………………………………………………………………..

     

    Choix de la cotisation annuelle :

     

    ¤ Sympathisant…………… :   5 €                  ¤ Actif…….………….…… :   5 €

    ¤ Donateur….à partir de …. : 10 €                 ¤ Bienfaiteur....à partir de ….. : 30 €           Date et signature

     

     

     

    Je règle :

     

    Par chèque à l’ordre de « Les Amis du Sacré Cœur de St Germain du Crioult »

    Ou par Virement sur le CCP : 877559 X Rouen

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  • L'abbé Pihan


     

    Sanctuaire du Sacré Cœur

     

    Espérance et Salut des Malades

     

     

    L’Abbé Léon Pihan, qui repose ici dans cette église, établit en 1901, dans l’église paroissiale de Saint Germain du Crioult, une œuvre de supplications en faveur des malades.

     

    Il fut soutenu dans cette œuvre, par l’Evêque du diocèse, Monseigneur Amette, qui devint, Cardinal Archevêque de Paris. 44 archevêques et évêques de France apportèrent par la suite leur soutien. Monseigneur Amette donna le nom de « Divin Médecin » à l’œuvre,  nom, que porta l’organe d’information sous forme de bulletin, publié pendant près de 70 ans.

     

    Le 3 octobre 1903, le Pape Pie X bénit cette œuvre.

     

    Le 11 août 1908, Monseigneur Lemonnier Evêque de Bayeux érigea une confrérie que le Souverain Pontife Pie X approuva et enrichit d’indulgences.

     

    Le 2 juillet 1912, le Sanctuaire du Sacré Cœur fut consacré solennellement. Pie X adressa un télégramme, lu, lors de la cérémonie.

     

    De nombreuses grâces de guérison ont été relatées dans le bulletin du « Divin Médecin » ; témoin de celles-ci, la présence actuelle d’une partie des ex-voto retirés des décombres de l’ancienne église, dynamitée par l’occupant, le 13 août 1944.

     

    Le dévouement extrême de l’Abbé Pihan qui oeuvra sans trêve à cette œuvre ( l’Archiconfrérie comptait plus de 60000 adhérents de France et de l’étranger avant la seconde guerre), ainsi qu’à sa paroisse,  (bâtisseur de l’école du Sacré Cœur d’où sortirent 4 prêtres et 4 religieuses), amena le maire de l’époque, Monsieur Bazin, à effectuer des démarches pour qu’il soit inhumé dans cette église.






    Kirche zum heiligsten Herzen Jesu

     

                                   Hoffnung und Heil der Kranken                              

     

    Abt Léon Pihan, der in dieser Kirche ruht, gründete in der Pfarrkirche St Germain du Crioults eine Bittstätte für die Kranken.

    Er wurde dabei von Bischof Amette unterstützt; dieser wurde dann Pariser Kardinal Erzbischof. Im Laufe der Zeit unterstützten noch weitere 44 Erzbischöfe Frankreichs die Stätte.

     

    Seine Exzellenz Amette gab der Bittstätte den Namen „göttlicher Arzt“. Diesen Namen trug das Informationsblatt, das beinahe 70 Jahre lang veröffentlicht wurde.

     

    Am 3. Oktober 1903 wurde die Stätte vom Papst Pius X gesegnet.

     

    Am 11. August 1908 gründete seine Exzellenz Lemonnier, Bischof von Bayeux eine Bruderschaft, die Papst Pius X anerkannte und der er das Recht zusprach, Ablässe zu gewähren.

     

    Am 2. Juli 1912 wurde das Heiligtum feierlich eingeweiht. Der Papst sendete ein Telegramm, das bei der Zeremonie verlesen wurde.

     

    Von zahlreichen Genesungsgnaden wurde im Informationsblatt „der göttliche Arzt“ berichtet. Davon zeugen die zahlreichen Votivtafeln, die aus den Trümmern der ehemaligen Kirche geborgen wurden. Sie wurde am 13. August 1944 von der deutschen Besatzungsmacht gesprengt.

     

    Der unermüdliche Einsatz von Abt Pihan sowohl für sein Werk - 1933 zählte seine Erzbruderschaft 38 000 Mitglieder in Frankreich und im Ausland - als auch für seine Gemeinde - er baute die Schule zum heiligsten Herzen Jesu, aus der 4 Pfarrer und 4 Schwestern hervorgingen - veranlasste den damaligen Bürgermeister Bazin, sich dafür einzusetzen, dass der Abt in dieser Kirche bestattet wurde. 

     

    Les Amis du Sacré Coeur de Saint-Germain-du-Crioult (14110)

    Déclaration à la Sous-Préfecture de Vire (14500 - CALVADOS) sous le n° : W144000125 

                                       Journal Officiel du 19/08/2006 n°20060033

    SACRE CŒUR SANTUARY

    SAINT-GERMAIN-DU- CRIOULT

    (CALVADOS – FRANCE)

     

     

    Hope and salvation for the ill

     

    Priest Léon Pihan who rests hear in this church, founded in 1901, in the parish church of Saint-Germain-du-Crioult, a supplication organisation in aid of the ill.

     

    The local bishop, His Grace Amette, was a real support to him. His Grace Amette became Cardinal Archibishop of Paris.

    Then 44 archibishops of France gave support to Priest Léon Pihan.

    Bishop Amette gave the name of “ Divin Médecin “ to the work.

     

    “Divin Médecin “ was also the name given to the news bulletin published during 70 years.

     

    On October 3rd 1903, Pope Pie X blessed this work.

     

    On August 11th 1908, His Grace Lemonnier, bishop of Bayeux, established a confrerie approved by Pie X and enriched by indulgencies.

     

    On July ? 1912, the SACRE COEUR SANTUARY was ceremoniously consecrated.

    Pope Pie X sent a telegram who was read during the office.

     

    Many thanks given to recoveries were recorded in the news bulletin -  (founded in the rubbles of the former church destroyed in August 13th 1944 by the occupying enemy) -  are witnesses.

     

    The utmost devotion of priest PIHAN who worked intensively for this work (in 1933 the Archiconfrérie counted up to 38 000 members in France an in foreign countries) and his parish).

     

    He was the one who built the “ Sacré Coeur “ school (4 priests an 4 nuns attended that school). The mayor at that time, M. BAZIN, required the necessary steps to obtain Léon PIHANS’s burial in this church.

     

    Les Amis du Sacré Coeur de Saint-Germain-du-Crioult (14110)

    Déclaration à la Sous-Préfecture de Vire (14500 - CALVADOS) sous le n° : W144000125 

                                       Journal Officiel du 19/08/2006 n°20060033

     


     

                            Santuario del Corazón Sagrado

                          Esperanza y Salvación de los Enfermos

    El abad Léon Pihan, que descansa aquí en esta iglesia, establece en 1901, a la iglesia parroquial de santo Germain de Crioult, una obra de súplicas a favor de los enfermos.

    fue sostenido en esta obra, por Evêque de la diócesis, Monseigneur Amette, que se hizo, cardenal arzobispo de París. 44 arzobispos y obispos de Francia aportaron más tarde su sostén. Monseigneur Amette dio el nombre de « Divino Médico » a la obra, el nombre, que llevó el órgano de información en forma de boletín, publicado durante cerca de 70 años.

     

    El 3 de octubre de 1903, el Papa Pie X bendice esta obra.

    Los 11 de agosto de 1908, Monseigneur Lemonnier Evêque de Bayeux erigió una hermandad que el Sumo pontífice Pie X aprobó y enriqueció indulgencias.

    El 2 de julio de 1912, el Santuario del Corazón Sagrado fue consagrado solemnemente. Pie X envió un telegrama, leído, en el momento de la ceremonia.

    numerosas gracias de curación han sido relatadas en el boletín de lo « Divino Médico »; testigo de éstas, la presencia actual de una parte de los exvotos retirados de escombros de la antigua iglesia, dinamitada por el ocupante, el 13 de agosto de 1944

     

    La devoción extrema del abad Pihan que se consagró sin tregua a esta obra (Archiconfrérie contaba más de 60000 adherentes de Francia y del extranjero antes de la segunda guerra), así como a su parroquia, (constructor de la escuela del Corazón Sagrado de donde salieron 4 sacerdotes y 4 monjas), hizo el alcalde de la época, señor Bazin, a efectuar pasos para que sea inhumado en esta iglesia.



    Santuario incoronato del cuore

     

    Speranza e ciao dei pazienti

     

     

    L'abbot Léon Pihan, che riposa qui in questa chiesa, stabilisce nel 1901, nella chiesa parrocchiale di santo germano dello Crioult, un'opera di suppliche a favore dei pazienti.

     

    Fu sostenuto in quest'opera, dal vescovo della diocesi, il monsignore Amette, che diventò, Cardinale arcivescovo di Parigi. i 44 arcivescovi e vescovi della Francia portarono successivamente il loro sostegno. Il monsignore Amette diede il nome “di medico divino„ all'opera, nome, che portò l'organo d'informazione sotto forma di bollettino, pubblicato durante quasi 70 anni.

     

    Il 3 ottobre 1903, il papa Pie X benedetto quest'opera.

     

    L'11 agosto 1908, il monsignore Lemonnier vescovo di Bayeux stabilì una confraternita che il sovrano pontefice Pie X approvò ed arricchisce di indulgenze.

     

    Il 2 luglio 1912, il santuario incoronato del cuore fu dedicato solennemente. Gazza X indirizzò un telegramma, letto, in occasione della cerimonia.

     

    Numerose grazie di cura sono state riferite nel bollettino “del medico divino„; testimone di queste, la presenza attuale di una parte degli exvoto ritirati dagli avanzi della vecchia chiesa, fatta esplodere con la dinamite dall'occupante, il 13 agosto 1944.

     

    La devozione estrema dell'abbot Pihan che si sacrificò senza tregua a quest'opera (Archiconfrérie contava più di 60000 membri della Francia e dall'estero prima della seconda guerra), come pure alla sua parrocchia, (costruttore della scuola incoronato del cuore da cui uscirono 4 sacerdoti e 4 religiose), indusse il sindaco dell'epoca, signor Bazin, ad effettuare passi perché sia inumato in questa chiesa.

     

     

     

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