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                        sur le site du Sanctuaire du Sacré-Coeur                                     de Saint Germain du Crioult

  • Neuvaine au Précieux Sang  de Jésus

     

           

    Neuvième     jour de la neuvaine

     

     

     

     

    Prières quotidiennes

    Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Amen !

     

    Appel à l’Esprit-Saint, invocation ou chant à l’Esprit-Saint.

    Credo, Notre Père, Je Vous salue Marie, Gloire au Père

     

    Actions de grâces et Louanges avec cette prière :  Ô Sang Très Précieux de Notre Seigneur Jésus-Christ, source de la vie éternelle, prix et rançon de l’univers, bain sacré de nos âmes, qui défendez sans cesse la cause des hommes près du Trône de la Suprême Miséricorde, je vous adore profondément.

     

    Prière donnée par Jésus à Maria Valtorta : “Très Saint Sang qui jaillit pour nous des veines du Dieu fait homme, descends sur le monde, comme une rosée rédemptrice sur la Terre contaminée et sur les âmes que le péché rend semblables à des lépreux. Voilà : je t’accueille, Sang de mon Jésus, et je te répands sur l’Église, sur le monde, sur les pécheurs, sur le purgatoire. Aide, réconforte, purifie, allume, pénètre et féconde, Ô ! Très divin Suc de Vie. Et que pour le petit nombre de ceux qui t’aiment, pour le nombre infini de ceux qui meurent sans toi, accélère et répands sur tous cette très divine pluie afin qu’on vienne à toi confiant en la vie, que par toi on soit pardonné dans la mort, qu’avec toi on entre dans la gloire de ton royaume. Ainsi soit-il

    Neuvième jour de la neuvaine 

    Les lectures (Ap 5, 1-10 et Ap 7, 9-17) proclament l’Agneau Immolé, Jésus-Christ, comme le « Seul digne de prendre le Livre et d’en ouvrir les sceaux, car il a racheté les hommes par son Sang versé. Et pour cela, Dieu l’a élevé en gloire et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s'y trouve, disent : À celui qui est assis sur le trône, et à l'Agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! » 

    Et avec eux, établis dans cette gloire, se trouve « la foule des saints, revêtus de robes blanches… Ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le Sang de l'Agneau… Ils n’auront plus faim, ils n’auront plus soif » (Jn 6,54).

    C’est la promesse que notre Seigneur et notre Dieu fait aussi à chacun de nous.

    Que son Sang précieux (qui est le Sang de Dieu fait Homme) nous garde et nous
    protège ! Que Son Sang Précieux nous délivre du Mal ! Amen !

    Prière de Consécration au Précieux Sang de Jésus-Christ 

    Jésus, mon Seigneur et mon Dieu, je me consacre à la toute-puissance de Votre Précieux Sang. Je viens me réfugier dans Vos Saintes Plaies afin que, par Votre Passion et par Votre Croix, je vienne épouser tout de Vous et m'offrir sans retenue à Votre Sainte Volonté, afin que mes blessures se noient en Vos plaies, et que Vos souffrances, Jésus, trouvent apaisement et reconnaissance en mon cœur. Que chaque instant de mon existence et celle de mes proches soit sous la protection de Votre Sang Précieux. Que mes pas s'harmonisent à Vos pas afin que Votre Amour jaillisse de mon cœur comme il a été offert au monde du haut de la Croix.

    Seigneur Jésus, je Vous aime, je crois en Vous, j'ai confiance en Vous. Amen !

     

     

     

     

     

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  • Première lecture

    « Marc, mon fils, vous salue » (1 P 5, 5b-14)

    Lecture de la première lettre de saint Pierre Apôtre

    Bien-aimés,
        vous tous, les uns envers les autres,
    prenez l’humilité comme tenue de service.
    En effet,
    Dieu s’oppose aux orgueilleux,
    aux humbles il accorde sa grâce.

        Abaissez-vous donc sous la main puissante de Dieu,
    pour qu’il vous élève en temps voulu.
        Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis,
    puisqu’il prend soin de vous.
        Soyez sobres, veillez :
    votre adversaire, le diable,
    comme un lion rugissant,
    rôde, cherchant qui dévorer.
        Résistez-lui avec la force de la foi,
    car vous savez que tous vos frères, de par le monde,
    sont en butte aux mêmes souffrances.
        Après que vous aurez souffert un peu de temps,
    le Dieu de toute grâce,
    lui qui, dans le Christ Jésus, vous a appelés à sa gloire éternelle,
    vous rétablira lui-même,
    vous affermira, vous fortifiera,
    vous rendra inébranlables.
        À lui la souveraineté pour les siècles. Amen.

        Par Silvain,
    que je considère comme un frère digne de confiance,
    je vous écris ces quelques mots
    pour vous exhorter,
    et pour attester que c’est vraiment dans la grâce de Dieu
    que vous tenez ferme.
        La communauté qui est à Babylone, choisie comme vous par Dieu,
    vous salue,
    ainsi que Marc, mon fils.
        Saluez-vous les uns les autres par un baiser fraternel.
    Paix à vous tous, qui êtes dans le Christ.

        – Parole du Seigneur.

     

    Psaume

    (Ps 88, 2-3, 6-7, 16-17)

    R/ Ton amour, Seigneur,
    sans fin je le chante !
    ou : Alléluia.
    (Ps 88, 2a)

    L’amour du Seigneur, sans fin je le chante ;
    ta fidélité, je l’annonce d’âge en âge.
    Je le dis : C’est un amour bâti pour toujours ;
    ta fidélité est plus stable que les cieux.

    Que les cieux rendent grâce pour ta merveille, Seigneur,
    et l’assemblée des saints, pour ta fidélité.
    Qui donc, là-haut, est comparable au Seigneur ?
    Qui d’entre les dieux est semblable au Seigneur ?

    Heureux le peuple qui connaît l’ovation !
    Seigneur, il marche à la lumière de ta face ;
    tout le jour, à ton nom il danse de joie,
    fier de ton juste pouvoir.

     

    Évangile

    « Proclamez l’Évangile à toute la création » (Mc 16, 15-20)

    Alléluia. Alléluia.
    Nous proclamons un Messie crucifié,
    il est puissance de Dieu et sagesse de Dieu.
    Alléluia. (cf. 1 Co 1, 23a-24b)

    Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

    En ce temps-là,
    Jésus ressuscité se manifesta aux onze Apôtres et leur dit :
        « Allez dans le monde entier.
    Proclamez l’Évangile à toute la création.
        Celui qui croira et sera baptisé
    sera sauvé ;
    celui qui refusera de croire
    sera condamné.
        Voici les signes qui accompagneront
    ceux qui deviendront croyants :
    en mon nom, ils expulseront les démons ;
    ils parleront en langues nouvelles ;
        ils prendront des serpents dans leurs mains
    et, s’ils boivent un poison mortel,
    il ne leur fera pas de mal ;
    ils imposeront les mains aux malades,
    et les malades s’en trouveront bien. »

        Le Seigneur Jésus,
    après leur avoir parlé,
    fut enlevé au ciel
    et s’assit à la droite de Dieu.
        Quant à eux,
    ils s’en allèrent proclamer partout l’Évangile.
    Le Seigneur travaillait avec eux
    et confirmait la Parole par les signes qui l’accompagnaient.

         – Acclamons la Parole de Dieu.

     

     

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  • Saint Marc

    Un des quatre évangélistes (Ier siècle)

    Saint Marc l'évangéliste, sculpture de Martin Damay, reproduction interdite Second dans l'ordre des évangiles synoptiques, serait-il l'inventeur du genre évangélique ? C'est possible puisque son livre, en mauvais grec, semé de sémitismes, fut composé très tôt à Rome, selon les données orales de Saint Pierre. Sans doute au plus tard en 70. L'auteur en serait le jeune Jean, surnommé Marc, fils de Marie chez qui la première communauté chrétienne de Jérusalem se réunissait pour prier (Actes 12. 12). Il accompagne Paul et Barnabé dans leur mission à Chypre. Peu après, il refuse de suivre Paul, en partance pour l'Asie Mineure. Il préfère rentrer à Jérusalem. Saint Paul lui en voudra, un moment, de ce lâchage : il préféra se séparer de Barnabé plutôt que de reprendre Marc (Acte 15. 39) Mais Marc se racheta et deviendra le visiteur du vieux prisonnier à Rome. Dans le même temps, saint Pierre le traite comme un fils (1ère lettre de Pierre 5. 13). Certains considèrent que saint Marc aurait été l'évangélisateur de l'Egypte. Ce n'est pas invraisemblable. D'autres affirment que son corps serait désormais à Venise. Après tout, pourquoi pas ? En tous cas, il fut un fidèle secrétaire pour saint Pierre dont il rédigea les "Mémoires", qui sont l'évangile selon saint Marc, à l'intention des Romains. 
    De Jérusalem, il suivit d'abord saint Paul dans ses voyages missionnaires, puis s'attacha aux pas de saint Pierre, qui l'appelait son fils et dont, selon la tradition, il recueillit dans son Évangile la catéchèse aux Romains. Il aurait enfin fondé l'Église d'Alexandrie.

    Martyrologe romain

     

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  • jeudi 25 avril
    St MARC
    En demandant à Jésus de guérir son enfant, un homme lui dit: Je crois! Viens en aide à mon incrédulité!
    Mc 9,17-29

     

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  • Communiqué de Mgr Habert

    « Choisis donc la vie » (Dt 30,19)

    Le lundi 4 mars 2024, le parlement, réuni en congrès à Versailles, a voté à une très large majorité la constitutionnalisation de la liberté d’avorter. Le plus étonnant dans cette journée ne fut pas tant l’ampleur du vote, mais la liesse médiatique qui l’a accompagnée. On avait le sentiment que cette constitutionnalisation devenait la bonne nouvelle à saluer sans réserve.
    Quelle parole tenir après un tel unanimisme ? Toute intervention de l’Église sur le sujet est immanquablement disqualifiée comme rétrograde ou répressive. Ce n’est pas une condamnation qui doit monter de nos cœurs mais une grande tristesse et aussi un étonnement. Comment comprendre que ce qui demeure une joie inouïe : le surgissement de la vie humaine, la naissance d’un enfant, soit ici oublié et remplacé par la revendication d’un droit.
    Dans une affaire très médiatisée, l’accident causé par un humoriste connu, beaucoup de commentaires avaient souligné la souffrance de cette femme qui avait perdu l’enfant qu’elle portait. Cette femme en effet ne subissait pas une grossesse, mais elle attendait un enfant !
    Il ne s’agit pas ici de brandir un discours de culpabilisation.
    – On sait combien à travers le monde la condition des femmes est le lieu de profondes injustices.
    – On sait, et cela a été heureusement redit, combien les situations d’oppression dont les femmes sont les premières victimes, sont l’occasion de souffrances terribles.
    – La perspective de donner la vie peut être source d’angoisse légitime, dans des conditions d’accueil inhumaines. Peut-être que nous-mêmes en Église nous n’avons pas mis toutes nos forces pour soutenir les personnes en détresse, quel que soit leur choix. Notre mission est d’éclairer les consciences à exercer leur liberté individuelle fondamentale.
    Face à ces drames, nul ne peut rester indifférent. La solution de l’avortement ne fait souvent qu’ajouter de la souffrance à la souffrance.
    – Il aurait été beau que la constitutionnalisation du droit à la vie de sa conception jusqu’à son terme soit reconnue.
    – Il aurait été beau que la protection des femmes, l’accompagnement des futures mères, la responsabilisation des hommes, soient des sujets abordés et considérés avec attention.
    À cette occasion, le Vatican a déploré le droit à supprimer une vie humaine. Les évêques de France ont rappelé que l’avortement, qui demeure une atteinte à la vie en son commencement, ne pouvait être vu sous le seul angle du droit des femmes.
    Le Pape François avait eu en 2013 des paroles fortes : cette défense de la vie à naître est intimement liée à la défense de tous les droits humains. Elle suppose la conviction qu’un être humain est toujours sacré (…) Si cette conviction disparaît, il ne reste plus de fondements solides et permanents pour la défense des droits humains, qui seraient toujours sujets aux convenances contingentes des puissants du moment. (La joie de l’Évangile, § 213).
    Que devons-nous faire ? La prière, l’engagement effectif auprès des plus fragiles et le soutien aux associations présentes sur le terrain demeurent de bons moyens d’action.
    En tout début du carême, nous avons entendu, le jeudi après le mercredi des cendres, la parole de Dieu : Choisis donc la vie. Il ne s’agit pas d’un slogan, ni d’une idéologie, mais d’une responsabilité qui nous est confiée. Demandons la grâce d’en être humblement des serviteurs.

    Le 8 mars 2024

    + Jacques HABERT
    Évêque de Bayeux et Lisieux

     

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  • Saint Claude La Colombière

    Jésuite, confesseur de sainte Marguerite-Marie (+ 1682)

    Né près de Lyon dans une famille bourgeoise, Claude entre à 17 ans dans la Compagnie de Jésus, les Jésuites. Dès sa profession solennelle en 1674, il est affecté au petit collège de Paray-le-Monial où il devient le confesseur du couvent de la Visitation. Il a 34 ans. La supérieure des Visitandines avait alors fort à faire avec une timide religieuse, Marguerite-Marie, qui croyait avoir reçu les confidences du Cœur de Jésus. Elle la confie au père de la Colombière. Le prêtre et la moniale se comprennent tout de suite: "Je t'enverrai mon fidèle serviteur et parfait ami", avait dit Jésus à Marguerite-Marie. Saint Claude La Colombière, paroisse Saint-Claude en val d'Ozon C'est ainsi que le jeune jésuite devient l'instrument par lequel le Christ va diffuser dans l'Église le culte de son Cœur transpercé, révélé à sainte Marguerite-Marie. Nommé en 1675 prédicateur de la duchesse d'York, il passe deux ans en Angleterre d'où il est banni à cause de calomnies. Accablé par la tuberculose, il retourne à Paray-le-Monial. Marguerite-Marie l'a prévenu: "Notre-Seigneur m'a dit qu'il voulait le sacrifice de votre vie en ce pays." C'est là qu'il meurt à 41 ans. Ses écrits expriment une belle harmonie entre la spiritualité de saint Ignace de Loyola et celle de saint François de Sales. 
    Patron de la paroisse Saint Claude en Val d'Ozon. 
    À Paray-le-Monial en Bourgogne, l'an 1682, saint Claude La Colombière, prêtre de la Compagnie de Jésus, homme entièrement donné à la prière, qui dirigea bien des fidèles à l'amour de Dieu par ses conseils sûrs et droits.

    Martyrologe romain

    A tout moment, j'attrape ces folles passions qui agitent ce pauvre cœur... Je demande à Dieu qu'il me fasse connaître ce que je dois faire pour son service et pour me purifier ; mais je suis résolu d'attendre avec douceur qu'il lui plaise faire cette merveille, car je suis bien convaincu que cela n'appartient qu'à lui seul.

    Saint Claude de la Colombière - Retraites

     

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