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     Consécration quotidienne

     Par cette belle prière consacrons-nous au Coeur de Jésus !

     

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     Recommandons nos malades au Divin Médecin !

     Recommandons nos malades au Divin Médecin !

      Cette neuvaine faite au Divin Médecin a été retrouvée grâce à l'exposition, en 2012 du centenaire  de la consécration du sanctuaire. Un visiteur le Père Emeric Colas des Francs, nous a dit qu'elle devait être réimprimée et préconisée pour ceux qui désirent recommander leurs malades.

    Enrichie d'indulgences, il nous a également assuré que celles-ci subsistaient.

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    Pourquoi le "Divin Médecin" ?

    Cette question fut maintes fois posée à l'ancienne aubergiste du village, dont l'établissement avait conservé au mur un agrandissement d'une carte postale du "Divin Médecin". Elle fut bien en peine d'apporter une réponse, le culte étant tombé dans l'oubli.

     C'est pour cette raison qu'en cette année de jubilé, une exposition sera en place tout l'été dans la nef de l'église, afin d'apporter une réponse qui ne manque pas d'être toujours posée.

     Un extrait du discours prononcé lors de cette consécration le 2 juillet 1912, par l'Abbé Henri du Rosel, donne un éclairage sur cette oeuvre créée par l'Abbé Pihan (voir en rubriques l'histoire du sanctuaire).

    "Comment prit jour cette idée, comment germa cette dévotion?A entendre certain langage, le langage de ceux qui veulent ignorer les moyens et les conseils de Dieu, il y aurait eu là une sorte de rêverie mystique, que sais-je, peut être un expédient ingénieux, comme si, après tout, le Coeur Sacré de Jésus si largement ouvert aux misères de l'homme, ne pouvait compatir aux souffrances physiques qui, sous toutes les formes ici-bas, travaillent la pauvre humanité, quand l'Evangile nous le voyons guérissant les malades et les infirmes et passer en faisant le bien. Et aujourd'hui, à l'heure où il désire si ardemment le rayonnement de son culte, qu'y a-t-il d'étonnant que pour attirer les âmes à la fournaise de son amour, il s'intéresse à ce corps pour lequel l'homme a tant de sollicitude et dont le bien-être le préoccupe si sensiblement?

      Quoiqu'il en soit, les faits sont là et ils parlent d'eux-mêmes. C'était en 1901, nous sollicitions avec instance le concours de personnes riches et bienfaisantes(1) qui voudraient nous aider à achever la reconstruction de l'église. Or, à notre appel, de nombreux bienfaiteurs répondirent en nous demandant de recommander au Sacré-Coeur les malades de leur famille. La coincidence de ces demandes, les mêmes formulées en nombre, sans aucun concert, nous frappa.

       Nous y vîmes une indication du Ciel. Soudain, l'idée jaillit, l'idée inspiratrice. Il convenait de fonder la dévotion au Sacré-Coeur "Divin Médecin". Nous en soumîmes le projet à Monseigneur, qui nous autorisa à établir en notre Sanctuaire un centre de prières au Sacré-Coeur"Divin Médecin", en faveur de malades...    

    ...Or, bientôt, à cette dévotion sous la forme particulière et nouvelle qu'elle venait de revêtir, le Sacré-Coeur daigna mettre la sanction de guérisons nombreuses et significatives. C'était là le sceau divin, le cachet du ciel, la marque de Dieu. C'est Monseigneur, sur le témoignage de ces merveilleux résultats que nous vous faisions connaître dans notre rapport de 1908, que Votre Grandeur érigea dans ce Sanctuaire une Confrérie spéciale qui compte aujourd'hui plus de treize mille Associés(2) répartis sur tous les coins du monde."

       (1) Cet appel aux dons avait été lancé afin de restaurer l'ancienne église devenue vétuste.

      (2)le nombre des Associés atteindra les 60.000 avant la seconde guerre.

     Le Pape Pie X bénira l'oeuvre et l'enrichira d'indulgences

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  •  Quelle magnifique représentation symbolique

    que ce Sacré-Coeur, vitrail d'Henri Guérin réalisé dans les années 2000 pour un oratoire de l'Aude !

      Lorsqu'il est paru dans le magazine famille chrétienne, présenté par Marie-Gabrielle Leblanc, notre association   recherchait une représentation symbolique du Sacré-Coeur. Nous avons été subjugués.

    Grâce au concours de celle-ci, et à la bienveillance de la famille du grand artiste   et, à celle du photographe de l'oeuvre, John Pole, cette image a pu être éditée pour commémorer le jubilé de notre sanctuaire de Saint Germain du Crioult.

     Ce vitrail évoque le Sacré-Coeur de Jésus transpercé sur la Croix par le coup de lance. Marie-Gabrielle Leblanc précise également que "l'étoile à cinq branches qui entoure le Sacré-Coeur est un très ancien symbole de la Vierge Marie ; la taille dans l'épaisseur donne au verre des nuances qui le métamorphosent en joyau. Le bleu est le symbole de la Vierge Marie et de l'humanité du Christ."

    Henri Guérin  (1929-2009) dont la foi était nourrie par la prière et les sacrements, fut un des plus grands artistes verriers du XXe siècle.

     consulter le site:

     http://henri-guerin.com

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  • Reportage sur notre Sanctuaire paru dans "FAMILLE CHRETIENNE" n° 1759

     

    J'ai lu un article dans Famille Chrétienne sur votre paroisse dédiée au Sacré Cœur et que je ne connaissais pas . Je voulais simplement vous apporter un témoignage :

     

    Début juillet, mon mari fait un feu à la campagne, alors qu'on est en pleine sécheresse . Il ne le maitrise pas et les sapins juste à côté de la maison flambent en quelques secondes . Impressionnant ! Les voisins arrivent et apportent leur aide, très efficace, en attendant les pompiers . Mais vu la proximité du feu la maison aurait du y passer.;; Or, mon mari a une grande dévotion au Sacré Cœur et nous  avons  dans la maison une statue mise à l'honneur dans une petite niche . Nous sommes persuadés et des amis chrétiens venus à notre secours aussi , que le Sacré Cœur a protégé la maison et tous les souvenirs que nous y avons . Voilà, un petit témoignage . Nous sommes loin du Calvados mais si un jour nous " montons" , nous irons adorer le Sacré Cœur chez vous ! Amicalement 

     

                                                                           Rene et Françoise Quatrefages

     

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    PELERINAGE AU MONT SAINT MICHEL

                 Pour la fête de Saint Michel et des Archanges, une poignée d’Amis du Sacré Cœur ont fait le pèlerinage le 29 septembre, en prenant de Vire à 8 h, le car venant de Caen. Ce pèlerinage était organisé par Christel (I3PC) que plusieurs d’entre nous connaissent depuis plusieurs années et avec laquelle ils se sont rendus en d’autres sanctuaires. Mais pour quelques uns c’était une première. Et quelle première ! Un temps magnifique, un Mont les pieds dans l’eau où le ciel se reflétait. Il fallait immortaliser ce souvenir. La photo a été prise avant de pénétrer dans le Mont, la consigne ayant été donnée de s’attendre pour la prendre…Et comme toutes consignes, une partie s’était déjà envolée, tant mieux pour ceux qui sont restés. Ce fut une journée forte en prières, en recueillement, le groupe s’étant séparé les uns pour assister à l’office de l’église Saint Pierre (moins de marches aussi pour les moins valides) et les autres à l’Abbaye. Pique-nique assis dans de confortables chaises à la salle Saint Aubert, ou sur les remparts au soleil avec la vue impénétrable offerte par les lieux, petits achats souvenirs, et retrouvailles pour le chapelet en l’église Saint Pierre, jetant aux yeux des éclats de lumière par ces centaines et centaines de veilleuses autour du sanctuaire de l'Archange. Ceux qui avaient bien voulu rester en l’église eurent un témoignage des participants du diocèse aux JMJ. Participation ensuite aux vêpres avant de regagner le car le cœur dilaté par le partage d’une telle journée.

     

    I3PC résidence les Hameaux du Port, 222, avenue Pasteur 14390 CABOURG .

    Tél : 0231918605 ou fax.0231910209 ou e-mail : crestoux@wanadoo.fr

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    C'était  le 1er juillet 2011, jour de fête du Sacré Coeur et jour de fête du Précieux Sang.

        

    )

      

      Merci à tous, religieux et religieuses, paroissiens, bénévoles, accompagnateurs, choristes, musiciens qui ont contribué à faire de cette fête 2011, une journée fervente.

      

    Lire en "Rubliques" Le chapelet du Précieux Sang et l'Adoration du Saint Sacrement " faits au cours de cette journée du Sacré Coeur.

      

      

      

                          Le Père Jules Amagnon prêtre eudiste du Bénin, était venu en 2010, remplacer pendant ses congés d’été, le Père Florent Acotchou prêtre de la paroisse Bienheureux François Jamet, fixé à Pont D’Ouilly. C’est d’ailleurs dans le presbytère de cette commune que le Père Jules a résidé, tout en desservant les autres dont la ville de Condé, pendant les congés du Père Jean-Luc Chaumoître. Les paroissiens ont pu l’apprécier, et garder le souvenir d’un prêtre affable mais également très recueilli.

                          A Saint Germain, où il découvrait notre sanctuaire, il alla au cimetière se recueillir sur la tombe d’un prêtre eudiste, le Père Guillaume Boutry de Monville. On sait désormais par les prêtres africains qui sont venus à tour de rôle, desservir notre paroisse, combien en Afrique était vénéré le Sacré Cœur.

                          Nous avons donc eu le bonheur par le biais d’internet, de recevoir cette année 2011, lors de la fête du Sacré Cœur, ce 1er juillet, sa pensée et sa prière. Nous l’en remercions.

                           Il nous annonçait également ses regrets de ne pouvoir venir cet été, regrets qui sont aussi les nôtres, en espérant le revoir un jour parmi nous.

     

    Message reçu lors de la fête du Sacré-Cœur :

    « Il n'est jamais tard de bien faire, dit-on. J'y ai pensé mais les occupations et la fatigue ont eu raison de moi depuis quelques jours.
    Juste pour vous souhaiter, ainsi qu'à tous les membres du Sacré-Coeur une bonne fête ce vendredi 1er juillet en la solennité du Sacré-Coeur de Jésus.
    Je vous reste uni dans la prière et me confie aux vôtres.
    J'espère que toute la famille se porte bien. Je salue chacun en particulier et dis à tous mes amitiés fraternelles.
    Ici, je me porte bien. Je n'ai pas pu me dégager pour envisager un voyage cet été. Partie remise sûrement! Je vous porte dans mon petit cœur et dans ma pensée, avec les meilleurs souvenirs de mon passage à St Germain.

    Bien cordialement in Christo!


    Père Jules Amagnon
    Cotonou »

     

     Un Coeur à Coeur de tous à "LUI"

     

    Avec un peu de retard et toutes mes excuses, je vous transmets la photo. Je l'ai prise devant la chapelle du noviciat des soeurs des Saints Coeurs de Jésus et de Marie, dans un village appelé Pahou, à environ 30km de Cotonou. C'était après le baptême de deux garçons, les enfants d'un ami.

    En union de prière dans le Coeur de Jésus et Marie,

    Mes amitiés à toute la famille et aux amis,

     

    P. Jules Amagnon, cjm

    Cotonou

     

     

     

     

                                                                                      

        

       

      

              

       

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  • MéditationsLa Fabuleuse Histoire du Sacré-Coeur de Saint Germain du Crioult   

     

     

     

     

    Dimanche 21 novembre, lors  de la messe du Christ Roi, célébrée en l'église du Sacré-Coeur de Saint Germain, le doyen de la paroisse Bienheureux François Jamet, le Père Jean-Luc Chaumoître a béni l'autel de la chapelle Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face. Cet autel a été offert par l'Abbaye de Notre Dame des Neiges de Saint Laurent les Bains en Ardèche. Rappelons que le Père Chaumoître est natif de Lisieux, ville de la Sainte. A cette occasion, il avait revêtu la chasuble brodée, restaurée par les Amis du Sacré Coeur: chasuble ayant appartenu à l'Abbé Henri du Rosel, enfant du pays, tué lors de la guerre 14-18.

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  • La Fabuleuse Histoire du Sacré-Coeur de Saint Germain du Crioult 

    Les tombes restaurées ont été bénies par Monseigneur Boulanger    

            

        A 16 h, ce vendredi 11 juin, jour de la fête du Sacré Coeur, 80  fidèles attendaient à l'entrée du cimetière leur nouvel Evêque. Monseigneur Boulanger venu à pied du sanctuaire où il s'était recueilli, était accompagné du Père Jean-Luc Chaumoître. Il saluait chacun,  avant de revêtir les ornements pour gagner en procession les tombes des prêtres. Ils étaient rejoints par le vicaire Florent Acotchou. Cérémonie émouvante au pied des tombes où Monseigneur associait prêtres disparus et vivants dans la nécessité qu'il y avait à se souvenir ou à soutenir ceux qui nous accompagnent dans tous les évènements de notre vie chrétienne.

    Historique
    Abbé Guillaume Boutry de Monville   (1756 – 1828)

     

     Prêtre eudiste

     

    Natif de Condé-sur-Noireau , d’une famille de 7 enfants, famille de robe, occupant de nombreux postes dans la magistrature. Il étudia lui-même la jurisprudence à Caen et suivit pendant quelque temps la carrière du barreau.  Sa conscience droite n’ayant supporté une injustice, il quittait le barreau pour entrer au Grand séminaire.

    Il devenait chapelain de Saint Sauveur en 1785. Il était ensuite incorporé dans la Congrégation des Eudistes.

    A la révolution il était parmi les prêtres du diocèse qui prêtèrent un serment restrictif de fidélité à la nouvelle Constitution.  Se rétractant, il pratiqua ensuite son ministère en cachette dans sa maison du village des Isles.  Dénoncé,  il comparaissait devant le tribunal du district . Il était emprisonné à Vire.  Il échappa de peu à son transfert à Rochefort pour être embarqué au bagne. Est ignorée la date où il recouvra la liberté. Mais comme les églises demeuraient toujours fermées, il fit construire une chapelle au hameau des Isles où il officiait chaque dimanche. Le Directoire rendait au culte les églises. En 1801, Guillaume Boutry de Monville est nommé pasteur de Saint Germain du Crioult. Sa renommée fit qu’il baptisa de nombreux enfants des communes environnantes (Vassy,  Moncy, Montsecret, et même Saint Clair de Halouze).  Il racheta le presbytère ( propriété actuelle de la famille Arnal). Il commença la restauration de la vieille église de Saint Germain qu’il consacra à la Vierge en 1824 en établissant la confrérie du Mont Carmel.


    Abbe Michel Delavarde curé de Saint Germain de 1828 à 1841

    Né à Montbertrand, il fut d'abord curé de Lassy. L'abbé Pihan disait que les vieillards de la paroisse avaient gardé de lui un excellent souvenir. L'abbé Delavarde disait quant à lui, en parlant de la paroisse de Saint Germain "
    Je n'y ai enterré que des saints". Il établit l'archiconfrérie du Saint Sacrement et mourut le 13 janvier 1841. Son corps est inhumé avec celui de Guillaume Boutry de Monville, de même que celui de l'abbé Pierre Lerebourg décédé le 25 avril 1821, sur lequel nous ne possédons pas à ce jour de documents.


    Abbé Thomas-Adrien Gautier (1817 – 1884)

     

    L’Abbé Gautier est né à Vire le 25 décembre 1817. Vicaire à Saint Martin à Condé, il devint curé de Saint Germain en 1851. « Le bon Monsieur Gautier, comme on l’appelait sut gagner l’estime et l’affection de tous », écrit l’Abbé Pihan dans un bulletin du « Divin Médecin ». Ce prêtre avait une dévotion extraordinaire pour la Sainte Vierge (par deux fois l’église y fut consacrée, avec l’Archiconfrérie de Notre Dame du Mont Carmel en 1824 (Abbé Boutry de Monville) et celle de L’immaculée Conception refuge des pêcheurs en 1842 (Abbé Martin). « On le rencontrait toujours le  chapelet à la main ». Il reconstruisit le chœur de l’église de Saint Germain. Il mourut le jour même de la solennité de l’Immaculée-Conception, peu de temps après avoir célébré la messe, le 14 décembre 1884. Le monument funèbre que les habitants lui ont érigé témoigne de la vénération que tous avaient pour leur prêtre.

     

      

    Abbé Eugène Houel  (1830 – 1892)

     

    Il est né en 1830 à Viessoix, et était curé de Saint Manvieu, quand il fut appelé par Monseigneur Hugonin Evêque du diocèse pour succéder à l’Abbé Gautier en 1885.

    Prêtre pieux et fort instruit, il s’appliqua tout particulièrement à la direction des âmes.

    « Il prêchait avec autant de piété, de zèle et d’éloquence. On ne se lassait pas de l’écouter. »

    (extrait du Divin Médecin).

    Il proposa ses deniers personnels pour la restauration de l’église vétuste.  Le Conseil municipal de l’époque n’agréa pas sa demande.

    Il mourut d’une longue et douloureuse maladie « supportée avec résignation » en 1892.

     

     

    Abbé Eugène-Hyacinthe Barbier (1849 – 1900)

     

    Né à Pont-Bellanger en 1849, il était curé de Fresné-la Mère avant d’arriver en 1893 à la paroisse de Saint Germain. « Ce prêtre éprouva un sentiment de profonde tristesse lors de sa première visite à Saint Germain, à la vue de l’état de délabrement du Saint Lieu. » Dès lors, il résolut de travailler énergiquement à la restauration de l’église.  Plus heureux que ses prédécesseurs, sa requête fut agréée du conseil municipal. « On ferait un volume si l’on voulait raconter dans le détail, les péripéties des démarches pour accomplir par lui, en vue d’obtenir les autorisations légales. »

     Mais cette entreprise de restauration n’avançant pas suffisamment vite à ses yeux, il entreprît de quêter au nom du Sacré Cœur. L’église de Saint Germain y avait été consacrée avec une Archiconfrérie en 1849, par l’Abbé Martin.

    Une magnifique nef et un élégant clocher sont réalisés avant qu’il ne décède le 27 août 1900.


    Restent deux tombes dont nous n'avons pu déchiffrer avec exactitude les noms: nous pourrons peut être le faire après le décapage du granit. Ces prêtres auraient été vicaires à Saint Germain.

     

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